15 avril 2008
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Pourquoi ne pas se lancer un défi qui, s'il était réalisé, pourrait permettre des économies d'au moins 10% aussi bien en terme d'économie d'argent qu'en terme d'émission de gaz à effet de serre? L'application des mesures proposées dans ce chapitre permet ce genre d'économies. Toute mesure pouvant permettre d'économiser les carburants, l'eau et l'énergie électrique est indispensable et rentable. C'est pourquoi il serait intéressant de se donner un tel défi.
Le fait de réduire sa consommation d'électricité de 10% dans nos maisons peut engendrer des économies de 150$ à 200$ par année sur le budget familial, ce qui n'est pas négligeable. En outre, il serait particulièrement intéressant d'observer si l'application de ces mesures aura un impact sur la marge de manoeuvre (en énergie électrique) dont disposera Hydro-Québec lors d'une prochaine période de pointe de consommation hivernale.
Économiser entre 2 000 kWh et 2 500 kWh par résidence signifie, au niveau du Québec, une économie annuelle correspondant à la production en énergie électrique d'une grande centrale comme Manic-2. Imaginez l'ampleur de l'investissement que devraient consentir les québécois pour la construction d'une centrale hydroélectrique de cette importance. Économiser 10 % représnte encore plus d'énergie que n'en produiront annuellement les éoliennes d'une puissance totale de 1 000 MW qui seront bientôt installées au Québec au coût de 2 milliards de dollars. Économiser 10 % d'énergie électrique, c'est aussi important que cela et, en prime, vous avez plus d'argent dans vos poches.
Le fait d'appliquer la même médecine à notre consommation de carburants procure, en moyenne, la même économie d'argent. Si vous investissez 2 000$ par année dans les carburants, vous économiserez un autre 200$ en relevant le défi 10 %.
Au total, une économie de 400$ par famille serait l'équivalent d'une augmentation de salaire brut d'environ 700$ à 800$. Consentez-vous cette augmentation salariale, vous la méritez bien.
Ces économies d'énergie, accompagnées de la mise en appllication d'une multitude d'autres mesures qui visent à diminuer nos émissions de dioxyde de carbone et des autres G.E.S. pourraient nous permettre de limiter considérablement l'ampleur et la rapidité du phénomène de changements climatiques. On ne peut pas les éviter, mais il est indispensable d'agir de façon à ce qu'ils se déroulent le plus modérément possible. La meilleure façon d'y parvenir, c'est de limiter, sinon d'abondonner, la production d'énergie à partir des combustibles fossiles. À cet égard, il serait opportun de mentionner que l'énergie la moins polluante est celle qu'on ne consomme pas.
Le fait de réduire sa consommation d'électricité de 10% dans nos maisons peut engendrer des économies de 150$ à 200$ par année sur le budget familial, ce qui n'est pas négligeable. En outre, il serait particulièrement intéressant d'observer si l'application de ces mesures aura un impact sur la marge de manoeuvre (en énergie électrique) dont disposera Hydro-Québec lors d'une prochaine période de pointe de consommation hivernale.
Économiser entre 2 000 kWh et 2 500 kWh par résidence signifie, au niveau du Québec, une économie annuelle correspondant à la production en énergie électrique d'une grande centrale comme Manic-2. Imaginez l'ampleur de l'investissement que devraient consentir les québécois pour la construction d'une centrale hydroélectrique de cette importance. Économiser 10 % représnte encore plus d'énergie que n'en produiront annuellement les éoliennes d'une puissance totale de 1 000 MW qui seront bientôt installées au Québec au coût de 2 milliards de dollars. Économiser 10 % d'énergie électrique, c'est aussi important que cela et, en prime, vous avez plus d'argent dans vos poches.
Le fait d'appliquer la même médecine à notre consommation de carburants procure, en moyenne, la même économie d'argent. Si vous investissez 2 000$ par année dans les carburants, vous économiserez un autre 200$ en relevant le défi 10 %.
Au total, une économie de 400$ par famille serait l'équivalent d'une augmentation de salaire brut d'environ 700$ à 800$. Consentez-vous cette augmentation salariale, vous la méritez bien.
Ces économies d'énergie, accompagnées de la mise en appllication d'une multitude d'autres mesures qui visent à diminuer nos émissions de dioxyde de carbone et des autres G.E.S. pourraient nous permettre de limiter considérablement l'ampleur et la rapidité du phénomène de changements climatiques. On ne peut pas les éviter, mais il est indispensable d'agir de façon à ce qu'ils se déroulent le plus modérément possible. La meilleure façon d'y parvenir, c'est de limiter, sinon d'abondonner, la production d'énergie à partir des combustibles fossiles. À cet égard, il serait opportun de mentionner que l'énergie la moins polluante est celle qu'on ne consomme pas.